Nouveaux résultats de recherche

Cette étude portait sur les effets de l’entrainement cardiovasculaire sur les symptômes de la spondylarthrite ankylosante. Les 106 participants, dont 38 femmes, ont été répartis par tirage au sort en deux groupes: un groupe randonnée nordique et un groupe de contrôle.
Il en est ressorti que la pratique régulière du mouvement chez les spondylarthritiques augmente sensiblement leur bien-être. Ceci, indépendamment du sexe, de l’âge ou du poids. Et, au bout de trois mois, le groupe entrainement avait moins de douleurs inflammatoires. Cette étude a également révélé que tout spondylarthritique, quel que soit le niveau de gravité de son affection, peut suivre un entrainement cardiovasculaire qui lui permettra de contribuer à une évolution favorable de sa maladie. La SSSA s’efforce d’intégrer l’entrainement d’endurance dans ses cours de thérapie.