Détection précoce
L’un des plus grands défis de la spondylarthrite est toujours de pouvoir la diagnostiquer suffisamment tôt. Malgré les progrès réalisés dans ce domaine, il existe toujours un long retard de diagnostic. Des algorithmes peuvent détecter des changements subtils sur des radiographies et des IRM plus rapidement et plus précisément que les méthodes de diagnostic traditionnelles. Cela permet une identification précoce de la maladie et facilite la mise en place d’un traitement en temps utile.
Établissement du diagnostic
Aujourd’hui encore, le diagnostic de la spondylarthrite n’est pas facile à établir. Il faut une expertise de longue date pour classer correctement les différents paramètres et facteurs. Il n’existe malheureusement pas de test simple. Il faut plutôt combiner différents symptômes, des radiographies et des IRM, des analyses de sang et éventuellement un test génétique pour obtenir une vision globale. Le diagnostic de la spondylarthrite ankylosante repose souvent sur des symptômes cliniques, de l’imagerie médicale et des examens de laboratoire. L’IA peut ici apporter une contribution décisive en analysant des modèles dans de vastes ensembles de données. L’analyse automatisée par l’IA de procédures d’imagerie telles que la radiographie ou l’IRM peut faire gagner un temps précieux aux médecins et augmenter la précision du diagnostic.