«Je peux facilement me mettre à la place de mes patients»

Nicola Häni (30) de Bâle est lui-même médecin en rhumatologie et partage volontiers ses propres expériences avec ses patients. Grâce à une thérapie biologique, il peut à nouveau faire régulièrement de la musculation et partir en randonnée avec des amis. Il peut également à nouveau s’adonner à sa grande passion, les voyages sur tous les continents.

30 août 2024

«Je travaille comme médecin-assistant dans une clinique de rhumatologie à Bâle. J’ai découvert cette spécialité également grâce à ma propre expérience de la spondylarthrite ankylosante. Le fait d’être moi-même concerné a définitivement éveillé mon intérêt. Ce qui m’a plu dans la rhumatologie, c’est par ailleurs que les choses ne sont pas aussi dramatiques que dans d’autres disciplines, que le quotidien est varié et pourtant relativement prévisible. Ce qui me fascine aussi en rhumatologie, c’est l’aide que l’on peut apporter aux patients. Au cours de mon internat, j’aurai l’occasion de découvrir encore d’autres spécialités, mais pour l’instant, je me vois bien rester en rhumatologie.

Homme posant pour une photo, l'eau est aussi visible sur la photo.

Grâce à une thérapie biologique, je vis aujourd’hui heureusement en grande partie sans grands symptômes. Le début de la thérapie a été un tournant pour moi, car j’avais de très fortes douleurs et restrictions auparavant. J’ai été diagnostiqué très rapidement, vers l’âge de 16 ou 17 ans. J’ai eu des poussées répétées, touchant principalement l’articulation sacro-iliaque. Les intervalles sont devenus de plus en plus courts et à un moment donné, des douleurs dorsales sont venues s’y ajouter.

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