«Tout mouvement peut être transformé en technique de relaxation»

Lilian Nagy, membre de la SSSA de Meilen ZH, a des dizaines d’années d’expérience et a suivi différentes formations dans le domaine des techniques de relaxation et de la médecine complémentaire. Elle accompagne également des personnes atteintes de spondylarthrite et déclare: «Il faut être ouvert à toutes les méthodes.»

26 mars 2025

Qu’entend-on par médecine complémentaire? Le plus simplement dit, cela signifie que les méthodes issues de ce domaine complètent la médecine conventionnelle. Depuis que ce sujet a été voté en Suisse, certaines méthodes de la médecine complémentaire sont également prises en charge par la caisse-maladie, à condition de remplir certaines conditions. C’est unique au monde et cela montre que la population de ce pays a à cœur d’avoir une vision globale de la santé. Une attitude que partagent également, et à juste titre, de nombreuses personnes atteintes de spondylarthrite. Ou comme le résume Lilian Nagy: «La clé du bien-être global et de la gestion de la douleur réside dans l’attention portée à soi-même.»

Elle est une experte aussi bien dans le domaine de sa propre santé que dans celui de la médecine complémentaire. Cet membre de la SSSA de Meilen, au bord du lac de Zurich, s’intéresse depuis plus de 30 ans aux approches et méthodes les plus diverses de la médecine complémentaire – des enseignements du mouvement et des méthodes physiques comme le tai chi et le shiatsu aux différentes formes de méditation, en passant par les techniques de pleine conscience et de relaxation. Elle travaille aujourd’hui en tant qu’indépendante à son domicile et soutient en plus la clinique Hohenegg, également située à Meilen ZH, pour différentes offres de thérapie.

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